L'union fait la force.

 

L'Etude Académique publiée par A. Vignola.

 

Cartes postales.

 

La philosophie dans le boudoir.

 

Images travaillées.

 

Zobéide.

 

Le journal d'une femme de chambre.

Les larmes d'Éros.

 

Mon Magasin érotique.

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Dans cette version de 1865 des " mille et une nuits " un joli petit sein s'échappe d'un corsage.

 

En même temps la princesse Badoure ouvrit son sein/ Nous avons là tout le programme des rêves érotiques des lecteurs du 19ème siècle.

 

	"Le paria" de Boitard dans "le Musée des familles" de 1847.
Dans le très moral "Musée des familles" de 1847, nous assistons à la rencontre d'un paria et d'une très jolie jeune fille... "...comme je regardais par-dessus la clôture , j'aperçus une jeune fille, belle comme un asparas sortant des ondes, elle était âgée de neuf ans, et sa figure , pleine de grâce et de beauté , était presque aussi blanche que celle d'une Européenne. Ses longs cheveux noirs, parfumés avec de l'ambre gris et du rougan-goulap (huile de rose) mêlé à de l'huile de coco, ne pendaient pas en longues tresses comme ceux d'une vaiscia , mais étaient relevés derrière sa tête ,et leurs nombreux contours étaient maintenus au moyen de plusieurs longues épingles d'or. Un petit corset de satin rose ,dont les manches ne dépassaient pas les coudes , dessinait sa taille et enveloppait sa gorge naissante sans la gêner ..." on remarquera qu'il n'y avait pas de gêne à éprouver du désir pour une aussi jeune fille à condition que cela se passe dans l'Hindoustan.
	"Les mille et une nuits" de 1866 par Galland.