Le Magasin Pittoresque.

L'avenir de la Belgique.

 

La devise de la Belgique.

 

Enquête sur l'Emploi des langues Française et Flamande dans l'Agglomération bruxelloise.

 

L'an premier de la Liberté Belgique.

 

 

Frères et Concitoyens 1792.

 

La Muette de Portici.

 

 

Chansonnettes bruxelloises

 

 

Chant Patriotique.

 

 

La Brabançonne.

 

 

La Garde Urbaine.

 

 

La Gazette de France 30 août 1830.

 

Léopold, prince de Saxe-Cobourg.

 

 

Conseil aux belges, par Béranger.

 

Ceux qui ne veulent pas la France.

 

Les élections en belgique.

 

Le Vrai Libéral.

 

Animation pour les élections du 14 octobre 2012.

Un petit belge en 1921.

( Il a déjà appris à le lire à l'envers afin de ne pas rater ce qui est dit entre les lignes !!!)

 

Belgique, royaume de l'Europe occidentale, comprenant deux races distinctes, les Wallons et les Flamands, unis par un commun amour des libres institutions, mais offrant, quant à l'origine, à la langue et aux mœurs, des différences que le temps effacera difficilement.
( Grand Dictionnaire Universel du XIXe siècle - Pierre Larousse 1867 ).

Combattants de 1830 / La Belgique est-elle aussi poussièreuse que ces pauvres vieillards ?

 

Dans les manuels d'histoire de Belgique, il faudra un jour expliquer comment un républicain français a pu écrire les paroles de l'hymne national d'un pays qui a comme chef de l'Etat, un roi.

En réalité Alexandre Dechet, dit Jenneval, n'a jamais écrit les paroles de la Brabançonne telles qu'on peu les lire aujourd'hui.

Et les insipides paroles flatteuses à la gloire d'un pays et d'un roi, ne nous feront pas oublier qu'il existe un système politique appelé République, qui a d'autres ambitions que de mettre à la tête de l'Etat un individu particulier avec sa famille de privilégiés.

Quant à Louis De Potter, républicain convaincu et principale figure de proue de la révolution belge de 1830, qui jouissait d'une immense popularité à la suite de son emprisonnement sous le régime hollandais, il retourna définitivement à la vie privée après que le Congrès, le 13 novembre 1830, se soit prononcé en faveur de la monarchie constitutionnelle en Belgique.

Il est probable qu'un jour la Belgique redevienne une république, ce qu'elle a déjà été un court laps de temps après la révolution française, dans certaines régions de notre pays.

L'an un de la révolution a eu lieu en Belgique, c'était en 1792.

En Belgique, ce qui fait barrage à l'idée d'une république, c'est la crainte d'une division du pays.

On estime généralement, à tort ou à raison que le Roi est le garant des institutions, le ciment qui fige, tant bien que mal, les populations du nord et du sud du pays dans une même nation.

L'Union fait la force est notre devise, mais à quel prix ?


La république, on le sait, n'exclu pas les politiciens démagogues et corrompus, qui comme dans notre petit pays, attisent les divergences communautaires.

Ni ceux qui, représentants du peuple, confondent intérêt commun et intérêt particulier.


Mais la république est malgré tout un passage obligé, comme le fut la chute du communisme dans les pays d'Europe de l'est.

Au début de l'année 2008, l'avenir de la Belgique en tant que nation fédérale, comprenant des communautés linguistiques différentes, est au bord de l'implosion.

Pourtant fin 2008, il aura fallu le krach financier, pour sauver notre artistique modelage communautaire.


Le Magasin Pittoresque profite de cette période de crise pour offrir à ceux qui n'ont pour tout capital que leur curiosité, quelques documents rares tirés de ses fonds de tiroirs.

Combattants de 1830. Janssens, Mondoyen et Van Herreweghe.

 

Photo prise le 10 janvier 1926 à l'occasion du 61ème anniversaire de la mort de Léopold Ier.

Le Roi Albert s'entretient avec les anciens militaires qui ont servi sous le règne du premier monarque de la Belgique.
Le père Thill, Mathias, âgé de 87 ans, est l'avant-dernier du groupe.